Sextape Paul Chouta : ‘’ Chacun est libre d’assouvir son fantasme avec un adulte consentant ! ‘’ Marlène Emvoutou
La sphère médiatique
camerounaise est en proie à une série de scandales sexuels rocambolesques.
Après Martin Camus Mbimb, c’est au tour du lanceur d’alerte Paul Chouta d’être
éclaboussé dans une affaire de vidéos à caractère sexuel.
Mais pour Marlène Emvoutou, les camerounais sont juste trop voyeurs, et
affairés sur la vie sexuelle des célébrités.
Une vidéo à
caractère sexuelle du lanceur d’alerte Paul Chouta circule sur la toile depuis
quelques heures. Cette sortie intervient à peine quelques jours après le
scandale Martin Camus et Malicka.
Dans une sortie sur
sa page Facebook, Marlène Emvoutou surfe sur l’affaire Paul Chouta.
« À ceux qui me demandent de me prononcer sur le cas Paul Chouta !
Sachez très chers, qu’en tant qu’ancienne prisonnière, j’ai beaucoup de mal à
juger ceux qui, comme moi, ont subi les foudres de la justice des forts… »,
relève celle-ci.
Pour l’ancienne
candidate à la présidence de la Fecafoot, on ne devrait pas embastiller un
journaliste pendant 2 ans pour une diffamation, ou mieux encore un délit de
presse.
« Sachez que
pendant ces deux années passées derrière les barreaux, on peut se sentir
toucher dans sa dignité, on peut subir des viols homosexuels… Alors, se
rassurer sur sa virilité en se filmant pendant des ébats sexuels, lui permet de
se reconstruire, et vous prouver, qu’il est toujours un homme qui reste debout »,
ajoute-t-elle.
Ladite vidéo
« Même si
son muscle a perdu un peu de sa vigueur. Ne dit-on pas qu’un muscle qui ne
travaille pas s’atrophie ? Quant à la jeune fille, je dois avouer que son
visage n’est pas clairement identifiable sur ladite vidéo. Mais nous pouvons
constater qu’elle n’affiche aucune réticence à l’idée d’être filmée. Ce que
vous devez savoir est que tant que cette vidéo n’est pas diffusée sur une
plateforme accessible à tous, on ne peut pas parler d’une atteinte à la vie
privée », note Marlène Emvoutou.
« Ce
sont ceux qui partagent cette vidéo dans les inbox qui sont à blâmer. Que
chacun commence d’abord par dénoncer celui qui lui a envoyé la photo sur
WhatsApp uniquement, car via Facebook une telle image ne peut pas être
diffusée. Je redis que chacun est libre d’assouvir son fantasme avec un adulte
consentant. Ils sont exhibitionnistes, parce qu’il existe des voyeurs.
Alors que chacun assume sa part de responsabilité », a-t-elle conclu.