Scandale s€xtape : Coup de théâtre ! Comment Boris Beltolt a contraint Camus à faire son mea culpa !
L’affaire du scandale sexuel impliquant le patron de la
RSI a eu un revirement inattendu ce samedi 20 juin ! Alors qu’il se
défendait dans un premier en criant au complot, Martin Camus Mbimb a finalement
fait volte-face suite à un ultimatum du lanceur d’alerte Boris Bertolt.
Le chroniqueur sportif ira même plus loin en dénonçant ses complices et
demander pardon.
Voici les détails de cette curieuse virevolte !
Tout est parti de
cette vidéo pornographique réalisée dans les bureaux de Martin
Camus Mimb.
Su les images, apparaissent un homme et une femme qui se
livrent à des pratiques sexuelles.
Sur le plateau de Vision 4 vendredi dernier, Martin Camus Mimb
soutenait mordicus qu’il n’est pas impliqué dans cette
histoire.
« Cette
jeune dame que je ne connais pas est venue à mon bureau, avec son copain dans
le but de se faire dédicacer mon livre. » avait-il fait savoir dans
une mise au point sur Facebook.
« En sus de
cette dédicace, ce couple s’est dit disposé à débattre avec moi des multiples
projets pouvant permettre de rehausser l’éclat de mes activités. Une telle
éventualité, nécessitant une discussion sereine, j’ai naïvement sollicité
qu’ils m’attendent patiemment dans mon bureau, le temps pour moi d’achever une
intervention sur les ondes. J’ai alors quitté mon bureau et suis revenu une
dizaine de minutes plus tard achever ma discussion avec eux sans me douter de
quoique ce soit. » se défendait le PDG de la RSI.
Mais suite à cette
sortie, des langues se sont déliées et une horde d’anciennes victimes ont brisé
le silence et dénoncé les agressions dont elles ont été victimes de la part du
journaliste sportif.
Toujours inébranlable face à ces témoignages accablants, Martin Camus Mbimb
finira par déder suite à un ultimatum de Boris Bertolt.
Dès les minutes qui
ont suivi l’interview du mis en cause, le lanceur d’alerte est monté au créneau
sur les réseaux sociaux, et lui a donné un délai de 48 heures pour rétablir la
vérité et assumer ses responsabilités.
Dans un premier
temps, l’homme sur la vidéo, un certain Wilfried Eteki brisera le silence et
avouera avoir envoyé la vidéo, face aux menaces de l’activiste en exil en
Europe et connu pour ses gros déballages.
Le journaliste finira par faire de même, en demandant pardon dans une nouvelle
publication, bien qu’en rejetant toujours la faute sur les autres mis en cause !
La sortie de
Wilfried Eteki
« Il circule
depuis des vidéos dans les réseaux sociaux. Malheureusement une erreur de
manipulation a envoyé au mauvais destinataire ces vidéos. J’ai pensé que le feu
allait s’éteindre au bout de quelques jours, mais je constate que les plus
grandes théories du complot se mettent en place. Il est important de porter à
l’attention de tous, que cette jeune dame, Malicka n’est pas venue faire une
quelconque conspiration comme beaucoup veulent le faire croire. Quant à
Malicka, je lui présente des excuses sincères. Je regrette cet épisode. Elle ne
mérite pas d’être ainsi lynchée, parce qu’en plus d’être brillante, elle est
issue d’un milieu où le respect des mœurs est capital. Je présente ici à RSI
toutes mes excuses pour les dégâts qu’on pu créer notre mésaventure. »
La réaction de
Martin Camus Mimb
« RSI prend
acte des excuses de M. Wilfrid Eteki, qui affirme à travers cette publication,
que nos locaux ont injustement été exposés et qu’il a fait une fausse
manipulation de son téléphone, pour que les images inacceptables d’une jeune
Dame, se retrouvent sur la place publique. Nous prenons donc acte qu’il ne
s’agirait pas d’un complot contre une institution qui se bat depuis près de dix
ans, pour se frayer un chemin. RSI se battra jusqu’au bout pour laver son honneur
terni par cette projection abjecte. Je l’ai dit publiquement et je le redis
ici, cette jeune Dame, ne mérite pas ce qui lui est arrivé. Nous devons nous
battre pour la protéger. C’est inacceptable ce qui s’est passé et nous nous
excusons pour cette légèreté et ce manque de vigilance. Ce sera la dernière
prise de parole publique sur cette sordide affaire. Le reste se fera par des
canaux appropriés. Nous présentons nos sincères excuses à tous ceux qui vivent
douloureusement cette situation depuis le début. Encore désolé. »